Call of the night - Série - Babelio (2024)

Call of the night

Série de 9 livres (En cours). Écrite par Kotoyama (9),

Call of the night, tome 6
Kotoyama

Ce tome était vraiment sympa, une bonne dynamique ! On en apprend un peu plus sur le mode de fonctionnement des vampires mais aussi comment les tuer…

J’aime beaucoup le personnage de Nazuna, qui a montré son côté vulnérable et a bien évolué depuis les premiers tome. [/masquer] On en apprend un peu plus sur son passé

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Call of the night, tome 9
Kotoyama

« La maîtresse de mon père était un vampire. C’était la conclusion naturelle a tout ceci. Mon père l’ignorait, moi seule savais. »

Mejiro et Nazuna ont un passé commun. Et si Nazuna a bien donné son premier baiser à Kô. Il s’en est fallu de peu que ce soit Mejiro. Lesbiennes spotted !

Retour dans le présent. Face à face entre vampire (Nazuna) et détective.

« Mais je n’ai pour autant envie de perdre Nazuna. Je ne laisserai personne la tuer. C’est ma seule certitude dans cette histoire. »

« Je suis venue mettre fin à la nuit. »

Un florilège de citations qui témoignent de mon affection pour cette œuvre.

Ce qui est sympa, c’est que chaque chapitre a pour titre la réplique la plus marquante du chapitre.

Alcool et cigarettes !! Ça donne envie pour l’abstinent que je suis.

Le face à face ultime entre Mejiro (détective) et Nazuna (vampire).

Elles sont toutes les deux magnifiques !

Le personnage de Nazuna est super sexy sans pour autant avoir besoin d’une grosse poitrine, ni d’une mini-jupe ou d’un gros postérieur…

J’ai même pris plaisir à lire la postface.

Phoenix

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Call of the night, tome 9
Kotoyama

Depuis le tome 7 , Call of the night en dévoilait un peu plus sur le passé de Nazuna, son origine en tant que vampire et surtout sa rencontre avec Kyoko Mejiro, celle qui a failli devenir sa première acolyte... Failli seulement car les choses ne se sont pas passées comme prévus et par un joli coup scénaristique , Kotoyama nous délivre en réalité l'origine de la némésis actuelle des vampires, à savoir la détective Anko Uguisu.

Ainsi, ce tome 9 conclut remarquablement ce retour dans le passé de Nazuna comme le souligne cette réplique, page 54 : "j'ai fait un petit voyage dans le passé , ca ne fait pas de mal de temps en temps" comme si c'était Kotoyama qui s'adressait directement à son lecteur. Et, non ce retour dans le passé ne fait pas de mal puisque la mangaka ne nous raconte donc pas uniquement l'histoire de Nazuna mais bien celle qui, à la suite d'une tragédie, relatée directement au début de ce tome 9 , deviendra la mystèrieuse détective-chasseuse de vampire. Ces flash-backs sont donc bien ficelés et viennent parfaitement rejoindre l'intrigue actuelle avec un tome 9 qui ouvre le début d'un combat final Vampire vs Détective.

C'est très bien planifié de la part de Kotoyama dont on sent qu'elle a une vue d'ensemble sur sa série. D'ailleurs, le chapitre ultime a été annoncé par le biais du magazine Shônen Sunday en janvier dernier. Call of the night est un titre qui s'achèvera donc en 20 volumes.

Avec ce tome 9, l'intrigue met donc de côté les ballades nocturnes pour faire place à un combat décisif entre une Kyoko hors de contrôle, à l'attitude presque suicidaire et Nazuna... C'est le début d'un affrontement passionnant et imprévisible pendant le carnaval de Halloween. La mangaka mutliplie le chara-design avec les différents déguisem*nts de la détective et déroule cet affrontement entre plusieurs étapes durant les attaques en plein milieu de la foule, dans une ruelle solitaire ou dans un bureau. Le combat est très rythmé et Kotoyama prouve encore une fois qu'elle peut se montrer également à l'aise dans l'action avec ce neuvième tome qui demeure le plus épique de la série.

Mais c'est autant pour la finesse d'écriture que nous nous régalerons devant ce volume. Par ses origines révèles, la détective devient un personnage très attachant où le flegme, les yeux fatigués, dissimulent une véritable souffrance et derrière sa haine des vampires, une soif d'auto-destruction. La mangaka dresse ici le portrait d'une antagoniste à l'attitude presque pathétique, totalement relâchée. En face, Nazuna devient plus vulnérable, ne souhaitant pas tuer celle qui fut sa première et seule amie...

Sans hésiter, je donne un petit coup de coeur à ce tome 9, rien que pour le déroulement du scénario qui vient ajuster les flash-backs vers une bonne révélation et qui donne lieu à un affrontement prenant qui trouvera sa conclusion dans le tome suivant. Adieu détective ou adieu Vampire ?

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Call of the night, Tome 8
Kotoyama

Après avoir découvert le quotidien de professeur de Niko Hirata, la vampire classe du groupe, Kô et Nazuna continuent d'enquêter sur le passé de cette dernière. En effet, Nazuna avait déjà pris des cours du soir auprès de Hirata et avait fait une rencontre décisive avec sa première amie et potentielle première acolyte, une lycéenne énigmatique du nom de Kyoko Mejiro.

Quel secret entoure la relation autour de Nazuna et Mejiro ?

Depuis le tome précédent, la mangaka Kotoyama s'applique à dévoiler le passé de Nazuna. Après les errances et ballades nocturnes qui nous ont fait découvrir quelques humains, vampires ainsi que leurs acolytes, voici que Call of the Night se concentre sur un arc plus introspectif riche en révélations autour de Nazuna.

Ainsi, nous avons appris que Nazuna était une vampire née, mi-humaine, mi -vampire mais si elle est devenu ce qu'elle est aujourd'hui , à savoir plus jovial et plus expressive, c'est avant tout grâce à sa relation avec sa première véritable amie, une certaine Kyoko Mejiro

Ce tome 8 est plus doux mais aussi plus amer comme emprunt d'une lente tristesse autour de ce personnage Kyoko Mejiro qui a soudainement disparu quelques années plus tôt. Ce huitième volume s'attarde donc sur la relation entre ces deux personnages à travers deux longs flash-backs dont le cadre se déroule principalement dans la solitude et le calme d'une salle de lecture. Encore une fois, la mangaka Kotoyama met génialement en valeur la symbolique des lieux comme cette salle remplie de livre qui est pour Kyoko, un refuge loin de sa situation familiale et pour Nazuna , le lieu décisif d'une rencontre qui lui ouvrira l'esprit.

Ce tome est plus délicat, plus à fleur de peau, teinté d'une petite enquête qui illustre une nouvelle fois les talents de chara-design de Kotoyama - san. La lecture est peut-être moins prenante avec une intrigue secondaire moins interessante autour de Kô, cette fois plus en retrait , qui se fait harcelée par une lycéenne un peu creepy sans compter le fait qu'on aurait espérer plus d'informations autour de la prof vampire Niko Hirata qui, malgré son charisme, reste un personnage moins développé que d'autres mais attendons de voir ce que nous réserve le neuvième tome.

Dans tous les cas, la série est toujours qualitative avec ce soin accordé particulièrement aux émotions et sentiments humains. Nazuna dévoile beaucoup plus d'empathie dans ce tome de par sa relation bouleversante avec Kyoko dont l'issue risque de nous arracher quelques larmes dans le tome 9 dont on peut deviner le souffle dramatique.

Un tome plus doux et plus sensible qui amorce un évènement amer dans le passé de Nazuna. Nous en apprenons plus sur cette vampire enjouée et souriante qui est devenue ce qu'elle est grâce à sa première véritable amie. Un tome emprunt d'émotions malgré un axe peu intéressant autour de Kô.

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Call of the night, Tome 8
Kotoyama

ÇA MORD?! (8)

Kô et Nazuna sont enrôlés de force dans un cours du soir. Nazuna dit qu'elle aime l'alcool devant plein d'adolescents et failli gaffer en révélant sa nature de vampire. (C'est Kô qui la rattrape!).

Une nouvelle venue vient rencontrer Kô dans une espace exigu. Elle est de très grande taille. Elle dit cash à Kô qu'elle l'aime et qu'elle veut sortir avec Lui. Ça sent mauvais. Je vous le dis par expérience ! Quand une fille que tu connais pas te dit "je t'aime" c'est qu'elle s'est fait plein de films dans sa tête qui correspondent pas forcément avec la vérité"...

C'est la meilleure phrase que j'ai écrite aujourd'hui.

Nazuna troue Kô et Rira dans une position étrange mais fortuite et son cerveau commence à Vriller. "Relation sexuelle illicite" "Imagine qu'elle tombe enceinte" ...

Etrangement, Nazuna semble vriller plus que d'habitude et pousse Kô dans les bras de Rira.

Je trouve le charme de Nazuna davantage efficient. Et sa nouvelle tenue vestimentaire.

Même si on en apprend plus sur le passé de la célèbre vampire, on ne connait pas encore son Origin Story.

En bref____

Après avoir été très déçu par le tome7, je passe finalement au Tome 8 et parviens à l'apprécier. Entre cours du soir, déclaration d'amour et fidélité à Nazuna. Un bon titre. J'aime vraiment bien.

Positif____

Les vampires stylés.

L'humour.

Les personnages.

Le style mature malgré les 14 ans de Kô!

Négatif____

Je ne sais pas!

____

Phoenix

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Call of the night, Tome 7
Kotoyama

Au bout de sept tomes, il était temps de découvrir les origines de Nazuna, notre excentrique vampirette !

C'est chose faite avec ce volume qui répond à bon nombres de questions concernant son passé et, plus spécialement, son passé humainb mais contre toute attente et sans spoil aucun, Kotoyama déjoue un peu les attentes du lecteur concernant l'origin story du personnage en ouvrant de possibles pistes à de nouvelles questions.

Ainsi, les premiers cahpitres de ce premier tome sont focalisés sur le passé de Nazuna et surtout sur le personnage de Kabura Honda, l'une des vampires principales du groupe, un personnage qui jusque là était un peu discret et dont on prend plaisir à découvrir l'émouvant passé ainsi que sa relation compliquée avec Nazuna.

De même, Kotoyama a le mérite de ne pas concentrer l'intrigue de ce tome uniquement sur l'origin-story de notre protagoniste féminin principal. Nous découvrirons également d'autres personnages secondaires avec le comique acolyte geek de la vampire maid pour un passage où la mangaka joue finement avec l'humour pervers. Un nouveau personnage vient donc enrichir une galerie toujours aussi importante avec ce lot de rencontres nocturnes qui alterne entre les couloirs d'un hopital rempli de secrets et la tanière d'un gentil otaku...

La quête de l'amour devient ici quête de soi avec un tome qui continue d'explorer tranquillement le passé de Nazuna, une quête de soi qui va nous faire découvrir un autre personnage, Niko, la vampire en veste plutôt classe qui donne des cours du soir. Le tome 8 sera donc focalisé sur cette vampire responsable aux allures de leader.

En somme, Call of the night est une série qui, jusqu'à maintenant, privilégie un rythme tranquille mais jamais ennuyeux en mettant l'accent sur les relations entre les personnages, leurs histoires personnelles, sans basculer dans le bourrin et le gore, un manga de vampire anti Tokyo Ghoul qui privilégie la beauté douce-amère des promenades au clair de lune.

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Call of the night, tome 6
Kotoyama

Call of the night , l'une des bonnes séries vampiriques de ces dernières années , vient davantage affiner la figure du vampire à travers ce sixième tome qui nous dévoile la faiblesse du suceur de sang, et non, il ne s'agit pas d'ail !

Après un autre passage plus existentiel sur la notion d'amour entre Kô et Nazuna qui s'offrent une virée nocturne un peu longuette dans Tokyo, la mangaka Kotoyama s'attarde un peu sur les doutes et les questionnements de Mahiru en passe (ou pas) de devenir également un acolyte de vampire. Comme à son habitude, la dessinatrice met en valeur tous ces promeneurs nocturnes. Dans ce tome, nous partageons les doutes de Mahiru qui, bien qu'il ne soit pas le protagoniste le plus intéressant, peut jouer tout de même un rôle crucial dans l'intrigue, notamment à travers son rapport avec l'énigmatique Kiku Hoshimi, une vampire à part.

De même, nous faisons plus ample connaissance avec la grande Kabura, l'une des vampires du groupe, qui semble avoir un lien certaine avec le passé de Nazuna.

Le passé, c'est justement sur ce point qu'est concentrée l'intrigue de ce sixième tome, qui suite à une intervention violente de la détective privée psychopathe, nous rèvèle que le point faible des vampires est un objet issu de leur passé humain. Avec une adroite transition, la mangaka prépare le terrain du septième tome qui sera, à n'en pas douter, riche en révélations sur le passé humain de Nazuna.

Dans l'ensemble, c'est un tome très agréable où cohabite discussions existentielles, ballades nocturnes, et passages plus tendus emmenés représentés par le personnage de la détective folle furieuse. Ce tome est un bon co*cktail de ce que fait le mieux la mangaka, à savoir un manga de vampire plus posé, une ambiance nocturne soignée avec une vrai diversité de lieux et des personnages bien écrits sous un dessin charmant et envoûtant. On peut regretter quelques dialogues un peu longuet mais cela fait aussi partie du style de ce Call of the night qui aborde d'une manière plus réfléchie ce que veut dire Aimer un vampire.

Un bon tome dans l'ensemble !

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Call of the night, tome 1
Kotoyama

KO et un élève de 4e qui est déscolarisé car il ne se sent pas bien en cours. Il décide de sortir chaque soir dans la ville car il est insomniaque qu'il vaut mieux s'occuper.

Il va y rencontrer Nanakuna une femme qui va lui faire découvrir la nuit et l'amusem*nt de celle-ci point elle emmènera chez lui et découvrira qu'elle est un vampire.

Elle le mordra et Ko sera surpris de ne pas être devenu un vampire. Elle lui expliquera que pour devenir un vampire il faut que le mode tant que lui est amoureux d'elle. Cela deviendra son objectif pour pouvoir devenir un vampire.

J'ai noté cette lecture 5 étoiles.

J'ai beaucoup aimé je me suis beaucoup amusé surtout avec les blagues coquines de Nanakusa.

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